30 août 1798 – Seulement les décadis … 30 août 2012
17 août 1897 – Acte de naissance, mention du Mariage 17 août 2012
27 juillet 1884 – Divorce 27 juillet 2012
Divorce. Introduit en France par la loi du 20 septembre 1792, le divorce a été supprimé en 1816 puis définitivement rétabli par la loi du 27 juillet 1884. Depuis la loi du 18 avril 1886 (art. 251), mention doit être portée en marge de l’acte de mariage. Depuis le 10 mars 1932, mention doit être portée en marge de l’acte de naissance.
26 juillet 1800 – Mariage au chef-lieu de Canton 26 juillet 2012
1800 – Mariage au chef-lieu de Canton
De septembre 1898 à 1800, le lieu du mariage était le chef-lieu de canton, et seulement les décadis (jour chômé, le dixième et dernier de la décade dans le calendrier républicain.. Ces contraintes furent supprimées le 7 thermidor an VIII (26 juillet 1800)
Mots fléchés et généalogie 22 décembre 2011
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Les définitions
1 | Sigle de l’expression Baptêmes-Mariages-Sépultures |
2 | Gardent les minutes et nous laissent les grosses |
3 | Mois chaud du calendrier républicain |
4 | Parfois sous X |
5 | Fit courir |
6 | Transmis par le père |
7 | Dernier acte |
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1 | Amateur d’arbres |
2 | Amateur d’écritures anciennes |
3 | Ont leurs lecteurs |
4 | Remplissent les inventaires et les répertoires |
5 | Après la Somme |
6 | De la même mère |
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La grille
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Réponses l’année prochaine
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Retour au 10 septembre 2011 : le CGMA 26 octobre 2011
Portes ouvertes : le CGMA
Nous profitons des congés de la Toussaint pour vous montrer quelques photographies prises lors des Portes ouvertes des associations de Charentonneau organisées tous les deux ans (années impaires) par l’OMC (en alternance avec le Forum des associations, années paires).
Pour continuer le stand du Cercle généalogique de Maisons-Alfort entre les deux bâtiments.
De loin et de près
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Ils voulaient appeler leur fils Kiwi (Deux-Sèvres) 21 mars 2011
« J’ai eu à examiner le cas d’un garçon que ses parents voulaient appeler Kiwi. Réflexion faite, je n’ai pas saisi le juge pour ne pas faire de discrimination. Après tout, il existe bien des filles qui s’appellent Prune. Autre cas, Bulle, pour lequel je n’ai pas averti le JAF. Il m’est arrivé une fois de demander une simple audition aux parents, pour savoir pourquoi ils avaient choisi comme deuxième prénom Galipette. »
Lire l’article complet de la Nouvelle République ici
Merci à Marc Brochant (Libractes)
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