*
Horaires de la Médiathèque :
Mardi : de 14h à 19h30
Mercredi : de 9h à 18h sans interruption
Jeudi : de 14h à 18h
Vendredi : de 14h à 19h30
Samedi : de 9h30 à 17h sans interruption
*
Horaires de la Médiathèque :
Mardi : de 14h à 19h30
Mercredi : de 9h à 18h sans interruption
Jeudi : de 14h à 18h
Vendredi : de 14h à 19h30
Samedi : de 9h30 à 17h sans interruption
Les détectives privés ont quasiment disparu des salles obscures, mais pas du paysage.
Alors que deviennent-ils ?
L’enquêtrice en chef de l’agence D. Détective accepte de nous dévoiler ce qui se cache derrière sa célèbre enseigne.
La Place Napoléon à La Roche-sur-Yon (85) héberge un bestiaire…
un bestiaire oui, mais pas n’importe lequel !
Cliquez sur l’image pour le visiter.
Yu Muroga was doing his job making deliveries when the 11 March 2011 earthquake hit in Japan. Unaware, like many people in the area, of how far inland the Tsunami would travel, he continued to drive and do his job. The HD camera mounted on his dashboard captured not only the earthquake, but also the moment he and several other drivers were suddenly engulfed in the Tsunami. He escaped from the vehicle seconds before it was crushed by other debris and sunk underwater. His car and the camera have only recently been recovered by the police. The camera was heavily damaged but a video expert was able to retrieve this footage.
1846 – Maître de poste : Louis LABBÉ
Louis LABBÉ est maître de poste, que sa propriété s’étend du carrefour d’Alfort aux rives de la Seine, de la route royale n° 19 (rue Eugène Renault) à la Marne et que son parc est magnifique, dessiné « à l’anglaise » avec une cascade et un petit lac.
Madeleine JURGENS précise :
Suivant jugement du tribunal civil de la Seine rendu le 17 octobre 1846, un arrêté d’expropriation frappe les dépendances de la maison d’Alfort (22 a. 95 ca. dans le jardin et 52 a. 70 ca. pris dans le parc). L’indemnité allouée est de 1.341,25 f La même année, 67 a. 45 ca. de terre labourable située dans la plaine sont achetés par la compagnie pour 5.055 f.
Cet homme d’action, on l’a vu dans un chapitre précédent, s’adapte à cette nouvelle situation. Dès le 16 août 1849, il passe un traité avec un gérant d’une entreprise d’omnibus à cheval ce qui lui permet de conserver une partie de ses postillons et de ses chevaux.
Il faut noter, toutefois, qu’avec lui, disparaît la tradition des maîtres de poste d’Alfort.
Sur l’inventaire dressé lors de son décès survenu le 17 octobre 1850, on peut lire cette appréciation impitoyable : à l’égard du brevet de maître de poste, dont il était titulaire, il n’en a été fait aucune estimation attendu que, par l’établissement du chemin de fer, c’est aujourd’hui un objet de nulle valeur.
Suivant jugement du tribunal civil de la Seine rendu le 17 octobre 1846, un arrêté d’expropriation frappe les dépendances de la maison d’Alfort (22 a. 95 ca. dans le jardin et 52 a. 70 ca. pris dans le parc). L’indemnité allouée est de 1.341,25 f La même année, 67 a. 45 ca. de terre labourable située dans la plaine sont achetés par la compagnie pour 5.055 f.
Cet homme d’action, on l’a vu dans un chapitre précédent, s’adapte à cette nouvelle situation. Dès le 16 août 1849, il passe un traité avec un gérant d’une entreprise d’omnibus à cheval ce qui lui permet de conserver une partie de ses postillons et de ses chevaux.
Il faut noter, toutefois, qu’avec lui, disparaît la tradition des maîtres de poste d’Alfort.
Sur l’inventaire dressé lors de son décès survenu le 17 octobre 1850, on peut lire cette appréciation impitoyable : à l’égard du brevet de maître de poste, dont il était titulaire, il n’en a été fait aucune estimation attendu que, par l’établissement du chemin de fer, c’est aujourd’hui un objet de nulle valeur.
D’après Madeleine Jurgens
Commentaires récents