Retrouvez les pseudonymes de
Chancel
Charpentier
Cordioux
Donadel
Habans
Jennes
Grindel
Moinaux
Mourer
Vogel
Zelle
Retrouvez les pseudonymes de
Chancel
Charpentier
Cordioux
Donadel
Habans
Jennes
Grindel
Moinaux
Mourer
Vogel
Zelle
Académiciens
Aguessau Marquis d’
Bainville Jacques
Benserade Isaac de
Droit Michel
Messmer Pierre
Acteurs, comédiens
Artaud Antonin
Blanche Robert
Buyle Evelyne
Carol Martine
Cordy Raymond
Crémer Bruno
Flon Suzanne
Laffin Dominique
Luguet André
Paradis Vanessa
Pigaut Roger
Préjean Albert
Simon Michel
Wilson Georges
Aviateurs
Bolland Adrienne
Mouchotte René
Bandes dessinées
Forest Jean-Claude
Giraud Jean (Moebius)
Cardinaux
Mazarin
Vitry Jacques de
Cinéma
Dréville Jean
Gruault Jean
Pigaut Roger
Chanteurs, Compoisiteurs, Interprêtes
Bontempelli Guy
Cerrone Marc
Chacun Jane
Dona Alice
Jeunesse Lucien
Paradis Vanessa
Sheila
Sablon Jean
Vassiliu Pierre
Compositeurs classiques
Cochereau Pierre
Loucheur Raymond
Mouret Jean Joseph
Phillipot Michel
Rouget de Lisle Claude
Tailleferre Germaine
Compositeurs
Cerrone Marc
Familles royales
Charles V Le Sage
Louis X le Hutin
Duc de Berry (Jean de France)
Duc d’Enghien
Historiens
Harmant Pierre
Maitron Jean
Massignon Louis
Vitry Jacques de
Hommes de lettres
Artaud Antonin
Benacquista Tonino
Brasillach Robert
Eluard Paul
Fallet René
Hardelet André
Malraux André
Malot Hector
Moinaux Joseph
Radiguet Raymond
Sade Marquis de
Seghers Pierre
Tardieu Jean
Hommes politiques
Cachin Marcel
Guesde Jules
Laval Pierre
Malraux André
Mazarin Jules
Messmer Pierre
Poher Alain
Raspail François
Silhouette Etienne de
Thomas Albert
Vaillant Edouard
Vaillant-Couturier Marie-Claude
Vivien Robert André
Interprètes
Chenal Marthe
Paulus
Journalistes
Carrel Armand
Droit Michel
Médecins et vétérinaires
Debré Robert
Nocard Edmond
Militaires
Bouchet ( Commandant )
Mouchotte René
Les généraux
Daumesnil Pierre
Guilhem Victor
Renault Pierre
Revers Georges
Nobles
Aguesseau, Marquis de
Berry, Duc de
Berthollet ,Comte de
Dunois, Comte de
Longueville, Duchesse de
Montpensier, Duchesse de
Sade, Marquis de
Peintres, graveurs, dessinateurs
Colin Paul
Delacroix Eugène
Gill André
Grévin Alfred
Meryon Charles
Toffoli Louis
Watteau Antoine
Photographie
Daguerre Jacques
Doisneau Robert
Radio et Télévision :
Coldefy Jean-Marie
Jammot Armand
Jeunesse Lucien
Savants, scientifiques et inventeurs
Beau de Rochas Alphonse
Berthollet Claude
Cailleux André
Daguerre Jacques
Deprez Marcel
Le Roy Pierre
Lenoir Etienne
Michaux Pierre
Reynaud Emile
Sportifs
Saint-Jean Olivier
Trentin Pierre
Divers
Badani Daniel (Architecte)
Brulé Etienne (Explorateur)
David Neel (Aventurière)
Douce Jacques (Publicitaire)
Mata-Hari (Danseuse espionne)
Seghers Pierre (Editeur)
Trigano Gilbert (Homme d’affaire)
Valton Jean (Chansonnier)
Vidocq (Aventurier – Policier)
*
1758 Louis XIV donne au village d’Amboile le nom d’Ormesson.
1790 Saint-Mandé, l’existence légale de la commune est reconnue par décret du 19 octobre.
Création de la commune de Bonneuil.
1791 Charenton est formé de quatre localités, Bourg du Pont de Charenton, les Carrières, Conflans et Bercy. Bercy est érigé en commune en 1791, puis annexée à Paris en 1860. En 1929, la partie de Charenton appelée “ Plaine de Bercy ” est annexée à la capitale.
1800 Au début du 19ème siècle Louis XIV donne au village d’Amboile le nom d’Ormesson.
1800 Napoléon fait transférer à Sceaux la Sous-Préfecture de Bourg-la-Reine.
1831 Joinville-le-Pont, par ordonnance royale du 29 août, Louis Philippe autorise la commune de la Branche du Pont de Saint-Maur à porter le nom de Joinville-le-Pont.
1860 L’ancien Paris d’avant 1860 était délimité par l’enceinte des fermiers généraux. En 1860 certaines communes limitrophes sont complètement annexées : Auteuil, Passy, Les Batignolles, La Chapelle, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Vaugirard et Grenelle. D’autres territoires proviennent de communes partiellement démembrées : Aubervilliers, Bagnolet, Clichy, Gentilly, Ivry, Montrouge, Neuilly, Pantin, Le Pré-Saint-Gervais, Saint-Mandé, Saint-Ouen et Vanves.
1885 Alfortville : le passage du rail, une lutte collective et des revendications expliquent la reconnaissance officielle de la commune d’Alfortville le 1er avril qui anciennement faisait partie du territoire de Maisons-Alfort.
1887 Le Perreux-sur-Marne naît officiellement le 28 février, par démembrement de Nogent, sous prétexte, entre autres, qu’une ligne de chemin de fer les séparait.
1896 La commune du Kremlin-Bicêtre naît en 1896, le quartier s’étant séparé du reste de Gentilly.
1899 Le hameau du Plessis-Trévise a été constitué en commune à part entière par loi du 7 juillet. Antérieurement c’est auprès des communes de la Queue-en-Brie, Chennevières-sur-Marne et Villiers-sur-Marne qu’il convient de rechercher les traces des Plesséens.
1921 Chevilly et Larue ont toujours été sujets aux problèmes créés par leur union administrative. La commune prend le nom de Chevilly-Larue en 1921.
1922 La commune de Cachan n’existe administrativement que depuis 1923 (loi du 26/12/1922). Elle était auparavant un hameau de la commune d’Arcueil et l’adjonction de son nom à celui d’Arcueil date de 1894.
1929 145 hectares de bois, la moitié de Saint-Maurice sont annexés à Paris
1957 La commune de Mandres devient Mandres-les-Roses le 15 février. Mandres dérive du mot latin Mandra qui signifie hutte, cabane.
1964 Loi de création des nouveaux départements de la région parisienne.
La Seine est subdivisée en quatre nouveaux départements, les Hauts-de-Seine, Paris, la Seine-Saint-Denis et le Val-de-Marne. La Seine-et-Oise est partagée entre les trois départements de l’Essonne, du Val d’Oise et des Yvelines.
1966 Créteil devient Préfecture du Val-de-Marne.
1969 Les Halles de Paris s’installent à Rungis.
C’est la révolution française qui est à l’origine de la création des départements en remplacement des « provinces » et de leurs diverses subdivisions (bailliages, sénéchaussées, généralités, intendances… ). Peu de temps après, la ferveur révolutionnaire s’attaque aux noms des paroisses/communes.
Sont ainsi « mal vues » les communes comportant les mots Roi, Reine, Prince, Comte, Vicomte, Duc, Baron…. Château, Fort, Palais, noble, ou des noms de « grandes » familles : Dunois, Bellay… mais aussi Dieu, Notre-Dame, Pape, Archevêque, Evêque, Abbé, Abbesse, Moine, Abbaye, Eglise, Croix, Paroisse, Temple et bien entendu tous les « Saint » et « Sainte »
Aux alentours de Maisons-Alfort
nous avons relevé les changements de noms :
Boissy-Saint-Léger Boissy-la-Montagne
Charenton Le Pont Le Républicain
Choisy Le Roi Choisi sur Seine
La Queue-en-Brie La Queue-le-Pelletier
Saint-Mandé Mandé
Saint-Maurice Charenton Républicain. (nom éphémère en 1793)
Saint-Maur des Fossés Vivant sur Marne
Sucy-en-Brie Sucy-Le-Pelletier
Villeneuve-Le-Roi Villeneuve sur Seine
Villeneuve-Saint-Georges Villeneuve la Montagne
Bourg-la-Reine Bourg-l’égalité
Amédée Chenal (Maire de Maisons-Alfort de 1896 à 1901) nous précise qu’en ce début de 1789
“ La commune était désignée officiellement sous le nom de Maisons-sous-Charenton ; mais ainsi qu’on l’a vu dans le cahier des doléances, on commençait à l’appeler Maisons-Alfort. Elle relevait du district de Bourg-la-Reine, qui devint ensuite Bourg-l’égalité. ”
Format 210X295 cm – 226 pages
L’Institut Géographique National (IGN) publiait en 1963 la première édition de ce « Glossaire des termes dialectaux », sous la direction de M. André Pégorier, scrétaire de la commission de toponymie. L’IGN établissait alors la « Nouvelle Carte de France », carte topographique de base au 1 : 25 000 couvrant l’ensemble du territoire français.
Ce glossaire avait pour préoccupation première d’aider les géomètres dans leur vaste tâche de recueil et de notation de milliers de noms de lieux, ou toponymes, régionaux, jusqu’alors ignorés de la cartographie et appartenant à des parlers aussi différents que l’alsacien, le breton ou l’occitan.
La carte de base est à présent achevée, et les enquêtes de terrain réalisées durant ces trois décennies ont confirmé l’intérêt d’un tel recueil, non seulement pour comprendre les noms figurant sur les cartes, mais aussi pour saisir l’importance de la toponymie en tant que témoignage des plus anciennes installations humaines sur notre sol.
C’est pourquoi le Conseil National de l’Information Géographique (CNIG) a souhaité que ce Glossaire soit mis à la disposition des érudits, des chercheurs, et d’un public toujours plus vaste de personnes désireuses de retrouver l’origine et la signification de leur patronyme ou du berceau de leur famille.
Mais si cet ouvrage témoigne de la grande richesse de ce patrimoine historique, culturel et linguistique, il en souligne dans le même temps la précarité : nombre de ces toponymes, et surtout microtoponymes pour les lieux-dits non habités, sont menacés de disparition en raison des modifications du territoire et de l’oubli progressif d’une tradition essentiellement orale.
L’IGN espère que la présente édition apportera une contribution à l’effort entrepris par d’autres instances, notamment au sein des Universités régionales, pour sauvegarder ces noms, intimement liés à notre histoire.
Poursuivant inlassablement mes recherches généalogiques, j’ai découvert, au détour d’un acte, qu’un membre de ma famille exerçait une profession des plus insolites : prestidigitateur ! Curiosité oblige, j’ai parcouru la toile pour en savoir plus… Qui aurait dit qu’eBay serait un puissant allié pour mieux cerner le personnage ? Pas moi a priori.
La suite sur : Quand eBay réserve des surprises généalogiques
C’est à l’initiative de Louis XV, impressionné par le travail cartographique réalisé en Flandre, qu’est levée la première carte géométrique du Royaume de France. César François Cassini de Thury dit Cassini III, fils de Jacques, est chargé de réaliser ce travail à l’échelle « d’une ligne pour cent toises », soit 1/86400e. La carte s’appuie sur le réseau géodésique que viennent d’établir (de 1683 à 1744) Jean-Dominique Cassini et son fils Jacques (père de Cassini de Thury).
Les levées commenceront en 1760 avec César François Cassini de Thury et se termineront en 1789 avec son fils, Jacques Dominique Cassini.La publication sera retardée par les événements de la Révolution pour n’être achevée qu’en 1815.
Ce sont quatre générations de Cassini qui se seront consacrées à la réalisation de la carte qui mérite de porter aujourd’hui le nom de cette famille.
La carte de Cassini servira de référence aux cartographies des principales nations européennes pendant la première moitié du XIXe siècle.
Commentaires récents